[Liminaire] Sainte-Marthe Scévole de,
[Sans titre],
« L'homme est forcé par la Parque, la Mort », Page de titre des éxemplaires au nom des frères Bouchet
[Liminaire] Muret Marc-Antoine,
M. A. D. M.,
« Bons Dieus, qu'est-ce que j'oi ? quel éclatat tonnerre », f. A v°
[Liminaire] Bouchet Guillaume,
G. Bouchet a J. Boiceau, seigneur de La Borderie, et à monsieur de Sainte Marthe, ses bons seigneurs et amis,
« C’est un dire assés vulgaire, que les choses precieuses communement sont rares... », f. A ij r° - f. A iij r°
[Liminaire] Le Roy Nicolas,
N. L. R. De la Boiciere,
« Peruse discourant en sa Tragique histoire », f. A iij v°
[Liminaire] Toutain Charles,
Ch. Toutain,
« Comme saigneuse encor ma plume je tirois », f. A iij v°
[Liminaire] Maisonnier Roger,
R. Mais. Poitevin,
« Quand les fiz de la Terre armerent tous leurs bras », f. A iiij r°
[Liminaire] Bouchet Jacques II,
Ja. Bouchet,
« Je t'ai taillé, Peruse, un Tombeau eternel », f. A iiij r°
[Liminaire] Bouchet Guillaume,
G. Bouchet,
« Ton sanglant échafaut, Peruse, autant m’étonne », f. A iiij v°
[Liminaire] Maisonnier Roger,
Sonet à ce propos par R. Mais. Poitevin,
« Jason voïant déja se lever le donjon », f. A iiij v°
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
La Médée,
« Dieus, qui avés le soin des loix de mariage », p. 1-42
[Liminaire] Maisonnier Roger,
[Sans titre],
« Tombier tu panses donc remerchant ceste pierre », p. 43 [page de titre des diverses poésies]
[Liminaire] Ronsard Pierre de,
Epitaphe de Jan de la Peruse, Angoulmois,
« Tu dois bien à ce coup, chetive Tragedie », p. 44-45 [liminaire aux Diverses Poésies]
[Liminaire] Bouchet Guillaume,
De l'amie de feu J. de La Peruze, G. Bouchet aus poetes,
« Pourquoi menés vous tel dueil », p. 45 [liminaire aux Diverses Poésies]
[Liminaire] Vauquelin de la Fresnaye Jean,
Au Tombeau de La Peruse,
« Quel Dieu gist en ce lieu ? - Nul Dieu ne gist ici, », p. 46 [liminaire aux Diverses Poésies]
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A monsieur l'Evêque de Terbes, A. d'Achon,
« Bien que l'aveugle écrivain », p. 47-53
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A J. Boiceau, Seigneur de La Borderie,
« Les ennuis continuelz / Qui bourrellent nötre vie », p. 54-70
[Pièce insérée] Boiceau de La Borderie Jean,
Par J. Boiceau, Seigneur de La Borderie, A J. de La Peruse, Fuïants de Poitiers pour la Peste.,
« C’est à ce coup, savant Peruse », p. 70-73
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Ode à Ge. Bucchanan,
« Sus à coup page qu’on déscende », p. 73-77
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Ode à un envieus blasonneur,
« Quelle Erinne échevelée / Du fond d'Enfer r'apelée », p. 77-78
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Epigramme à Vénus,
« Di moi Vénus, pour quoi as-tu permis », p. 78
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Chansons,
« [Incipit non renseigné] », p. 79-89
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A la Francine de J.A. de Baïf,
« Mais n'avois je pas prédit, / Que ton cors et ton esprit », p. 89-93
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
De Jaq. Tahureau, et son Admirée,
« Poëte mignardelet, / Mignardement doucelet », p. 93-97
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A Jane,
« Jane, quand je te regarde, / Ce faus Archerot me darde », p. 97-98
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A Madamoiselle de Dampierre,
« Vierge mignonne des Dieus, / Vierge mignonne des Muses », p. 98-99
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A Madamoiselle J. Bartelot,
« Comme le branler d'une onde / Les choses sont en ce monde », p. 99-101
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A C. C.,
« Le petit Dieu vainqueur des plus grans Dieus », p. 101
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A F. de G.,
« Plus qu'en Tableau ou en Cuivre / L'Admiré peut faire vivre », p. 101-102
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A l'amie de mon ami G. Bouchet,
« Amour, loïeuté, et foi, / Logent au cœur de celui », p. 102-103
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A une damoiselle dont les lettres capitales portent le nom,
« Celui qui dans un cors souhaitera de voir », p. 103-104
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Contr' etrénes,
« [Incipit non renseigné] », p. 104-105
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Au Roi. Vers Alexandrins,
« Noz Peres abusés par un' erreur commune », p. 105-107
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A F. Delauzon, Docteur,
« En-ce-pendant qu'en dous langage », p. 107
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Sur la mort du capitaine Faïoles, le puiné,
« Quoi ! dureront tou-jours tant de maus inhumains », p. 107-111
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Sur la mort de F. Clermont, Seigneur de Dampierre,
« Si pour un homme mort tu reçeus jamais dueil », p. 112-115
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Sur la mort du fiz de P. Chesnai, Banquier à Poitiers,
« Est-ce donques le grand aise / Attandu si longuement ? », p. 115-118
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Epitaphe d'Anne de Poulignac, Contesse de Sancerre, et de la Roche-focaud,
« Anne de Poulignac jadis deus fois Contesse », p. 119
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Oraison pour avoir santé,
« Dieu, vrai Dieu, Dieu seigneur de nous pauvre humains », p. 119-123
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A G. Bouchet, à son depart de Poitiers, disant à Dieu,
« Bouchet, que n’est-il permis / Que l’homme avec ses amis », p. 123-127
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A P. de Francheville,
« Tandis que dure la jeunesse, / Passons là parmi les ébas », p. 127
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
J. de La Péruse à P. de Ronsard Prince des Poëtes François,
« D’où vient, Ronsard, que la dépite Envie », p. 128-128
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Jan de la Peruze à Olivier de Magni poëte liriq,
« Si tout ainsi comme je voudroi bien », p. 128-129
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
D'un pourtrait voilé de l'Admirée,
« Les Dieus voulans montrer le plus de leur avoir », p. 129
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
[Sans titre],
« Mais qui vous meut, ô ma douce guerriere », p. 129-130
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A M. A. de M. Des trois premiers Poëtes de France, et de lui,
« Cassandre vit, et vivra par les vers », p. 130
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Contre un injurieus Poëtastre,
« Ciclopes courageus horriblés vôtre ouvrage », p. 130-131
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A C. C.,
« Tu me fuis donq ? donq tu ne m'aimes pas », p. 131
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Aux Muses,
« A Dieu vous di, Muses Aônienes », p. 131-132
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A C. C.,
« C’est toi à qui je veux dédier mon amour », p. 132
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A R. Maisonnier,
« Mon Maisonnier, il faut que l’homme meure », p. 132-133
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
A Jaq. Tahureau,
« Celui qui as ta Cassandre chanté », p. 133
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Sonet perdu à la rafle, contre J. A. de Baïf,
« Puis que le Dé t’a fait mon crediteur », p. 133-134
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Amourete à C. C.,
« Ce pendant que la tristesse / Ronge mes espris sans cesse », p. 134-142
[Œuvre principale] Bastier de La Péruse Jean,
Ode à F. Boissot son voisin et ami,
« Le tout-puissant quoi qu'il tarde / Sa peau de Chévre regarde », p. 142-149 (faussement paginé 147)
[Post-Liminaire] Blondel Pierre-Marin,
Ode par P. Marin Blondel Lodunois,
« Par quelle sacrilege audace / Ô Demorgonniene race », p. 150-152